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Roberto Carlos, ses folles anecdotes sur le vestiaire du Real Madrid !

le 11 octobre 2019

Roberto Carlos, ses folles anecdotes sur le vestiaire du Real Madrid !

Zidane, Luis Figo, Ronaldo, David Beckham… Une belle brochette de stars pour de sacrées petites histoires !

Difficile de gérer un vestiaire rempli de stars… Et que dire de celui du Real Madrid époque galacticos ? Des champions payés à prix d’or par le président Florentino Perez pour clôturer la période Lorenzo Sanz. Au menu ? Des titres, certes, mais peut-être pas autant que ce que les noms présents sur les feuilles de match pouvaient le laisser penser : Zinédine Zidane, David Beckham, Iker Casillas, Luis Figo, Ronaldo, Roberto Carlos… Aujourd’hui, le dernier cité a d’ailleurs livré quelques secrets de vestiaire !

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Un vestiaire de rockstars

Entre quelques confidences sur les entraîneurs trop sévères qui ont rapidement fait leurs valises face aux stars du Real -Camacho aura tenu 10 jours à la tête de la Casa Blanca-, Roberto Carlos a livré du lourd chez les portugais de Canal 11. Entre alcool pendant les mises au vert, entraînements placés à 17 heures et autres voyages privés quelques jours avant les rencontres… L’ancien latéral gauche du Brésil n’a pas fait dans la langue de bois, comme on peut le constater dans ces propos traduits par Foot Mercato :

« On avait l’habitude d’arriver à la mise au vert, de laisser nos affaires dans les chambres et d’aller dîner. On avait l’habitude de prendre notre petite bière et du vin. Il y avait deux bouteilles sur chaque table. Lors du 2e match de championnat, quand Luxemburgo est arrivé, Ronaldo et moi lui avons dit : « professeur, il y a des habitudes ici, vous allez voir, s’il vous plaît, ne les changez pas, comme celle de la bière avant le dîner, sinon on va avoir des problèmes ». Il a d’abord interdit la bière puis le vin. Ça a tenu 3 mois. La nouvelle est arrivée aux oreilles de la direction et au revoir. C’était notre ambiance de vestiaire ».

« Del Bosque n’était pas un entraîneur, c’était plus un ami des joueurs. Il n’y a pas besoin de règles. (…) Il nous comprenait parfaitement. Les entraînements du lundi et du mardi étaient à 17h. Il ne les mettait pas à 11h parce qu’il savait que tout le monde ne viendrait pas ».

« Aujourd’hui, je me demande comment on a pu faire autant de conneries. Il faut toujours des fous dans une équipe. À la fin de chaque match, il y avait des vols privés. On se retrouvait entre joueurs au terminal des vols privés de Barajas (aéroport de Madrid) Beckham allait je ne sais où, pareil pour Figo, Zidane, Ronaldo, moi, Casillas… Avec un entraînement prévu deux jours plus tard… Moi, je priais pour que les matches soient le samedi pour pouvoir aller voir les Grands-Prix de Formule 1 le dimanche, où qu’ils se déroulent. C’était une folie ».

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