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Sadek nous ouvre les portes de son salon de coiffure [VIDEO]

le 18 septembre 2017

Sadek nous ouvre les portes de son salon de coiffure [VIDEO]

Quand le rappeur devient entrepreneur…

A l’occasion de la sortie de son album « VVRDL« , Sadek a livré une interview, un freestyle, mais pas seulement. On est ainsi allé retrouver le rappeur chez lui, l’occasion de découvrir un peu plus son quotidien. Dans le premier épisode de notre série 24 heures avec Sadek, rendez-vous donc avec un entrepreneur pas comme les autres…

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Barbe à Papa, un concept made in Sadek

Investir, voilà une chose pas évidente pour beaucoup. Cependant, certains d’entre nous semblent être victimes de pas mal de préjugés. Aujourd’hui, pour mieux casser les idées reçues, il y a Sadek. Le rappeur a eu la bonne idée de faire dans le commerce de proximité et a convié Booska-P au Perreux-sur-Marne (94) pour découvrir son bébé : un salon de coiffure baptisé « Barbe à Papa ».

Un lieu avec un concept innovant : proposer des coupes pères-fils et accueillir tout ce monde dans une bonne ambiance, sous les coups de ciseaux des « as des as » selon les propres mots de l’artiste.

Tout ce qu’il faut, c’est des bonnes idées, du coeur à l’ouvrage et de l’huile de coude

Ambitieux et surtout les pieds bien sur terre, Sadek revient donc à un domaine moins sous les spotlights. Une activité loin du cinéma ou de la musique, mais qui trouve son origine dans une réelle envie, celle de rendre fier les siens :

« Pourquoi je vous montre cette boutique ? Parce que pour moi la réussite, elle est dans la légalité, dans la volonté de rendre fier ses parents. On me parle toujours de la musique, du cinéma ou du sport, mais j’ai envie de montrer et d’expliquer que c’est possible, avec peu de moyens, de faire ce genre de choses.

Parce que quand je parle avec des amis à moi, ils pensent que ça va revenir à un coût inimaginable dans les 300 000 ou 400 000 euros. Alors qu’en vrai, quand je parle avec des gros industriels, ils me disent toujours ‘notre affaire, on l’a monté avec moins de 10 000 euros’ (…). Tout ce qu’il faut, c’est des bonnes idées, du coeur à l’ouvrage et de l’huile de coude« .

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